Faut-il le rappeler, il n'y a pas que l'auto dans la vie. Tant de choses absorbant de l'énergie étant promises à l'électrification, les seuls "accus" ne suffiront probablement pas...
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- DVSM, 14 novembre 2023. Il y a dans un futur improbable un grave souci, trop peu identifié, en matière de diversité. Pas animale, pas "bio", mais bel et bien énergétique. Alors que des ondes anxiogènes reviennent avec un conséquence immédiate sur le commun des ménages, outre l'augmentation inéluctable de la facture, un vertige bien plus inquiétant naît de toute observation attentive des perspectives énergétiques affirmées. Outre l'automobile, pour laquelle les watts électrisés semblent être choisis comme unique ressource (avec la promesse d'une inéluctable déflagration côté coût à l'utilisation*), il est clair que tout ou presque est désormais considéré comme promis à une alimentation par ce magnifique courant. Tout, incluant industrie et commerce. Le problème complémentaire aux quantités, qui découleront de ces consommations, tient dans l'irrégularité des besoins. Pour répondre à des nécessités de consommations colossales à certaines heures, il sera impératif de mettre en oeuvre ce qu'il faut pour répondre à des crêtes pas toujours prévisibles. Donc l'art sera de savoir (et pouvoir) stocker. Mais qui, sauf peut-être un dieu des mégawatts, aurait prétendu une fois pour toutes que, seul, le stockage par et via batteries serait possible...? Une sorte de pied-de-nez aux réalités, qui occulte au moins un exemple d'autre moyen, baptisé jadis "la houille blanche". Les écoliers des temps lointains, qui fréquentèrent l'école de la République quand, dès le "primaire" et avant le "Certif", le savoir lire, écrire et compter y étaient acquis, comprennent qu'il s'agit des barrages. En 1952, à Tignes (Savoie) le plus grand barrage d'Europe était mis en service (avec expulsion pas trop élégante des habitants du petit village noyé dans les eaux du nouveau lac, ce qui est une autre histoire). Depuis, on a fait plus fort. Avec des turbines qui reçoivent des eaux projetées à 500.Km/h, l'activation de la production y étant bien plus souple que celle des centrales nucléaires, pratiquement autant que celles des formules dites "flamme" (charbon, fioul, gaz...). En hydroélectricité, malheureusement, les possibilités géographiques de l'Hexagone ne permettent guère de nouvelles créations. Mais où sont les innovations relevant d'autres techniques, mécaniques par exemple... Allo...! On ne vous entend pas...! Or, des solutions différentes peuvent être imaginées, bien plus compatibles avec l'environnement, et prometteuses. Las, Sœur Anne ne voit rien venir. Sans doute en partie parce que l'Etat, et les Etats, souhaitent non seulement contrôler, mais aussi verrouiller ce secteur, ne serait-ce que pour pouvoir le "pomper", fiscalement bien sûr. En attendant, il n'est sans doute pas prudent de se passer de quelques outils qui, certes ont des inconvénients, mais un avantage.: ils fonctionnent. C'est ce qui ressort de propos furtivement entendus, par exemple du côté de Cordemais... (Loire Atlantique). Chut, ne le répétez pas...
* Sachant que les taxes sur les carburants constituent la quatrième recette de l'Etat, qui est en ce moment occupé à tenter un plafonnement futur (proche) vers 70 euros un Mégawattheure qui se négocie environ 40 euros, pronostiquer l'explosion inéluctable du coût du "kilomètre auto électrique" revient à trouver le vainqueur d'une course à Auteuil où un seul partant s'est inscrit.
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