- ENERGIES : qui cherche à tout concentrer sur l'électricité, et dans quel redoutable dessein...?

La meilleure stratégie en matière de ressources énergétiques pourrait-elle être le recours à la plus grande diversification possible, et non à cette concentration trop visible à propos de laquelle il serait utile de s'interroger...?

---DVSM---

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- DVSM, 28 octobre 2025. La célèbre leçon du poète, à travers l'histoire de la laitière qui misait tout sur son unique pot bien rempli, n'a pas été retenue. Les besoins en énergie sont multiples. Ils peuvent encore s'amplifier, et comme toutes les régions du monde ne disposent pas des ressources naturelles suffisantes pour couvrir leurs propres besoins, les échanges sont depuis des décennies devenus des instruments de pouvoir, déclencheurs de conflits, générateurs de fortunes ou de disettes. Les dépendances et ce qui permet de s'en dispenser ont provoqué des tensions, parfois (et même souvent) habillées d'alibis culturels, religieux et autres. Comment, dans ces conditions, ne pas s'apercevoir que ce travers cuisiné d'une manière peu tolérable par des individus pas toujours recommandables risque de prendre un aspect plus contraignant que jamais en plaçant tout ou presque sous le seul cordon ombilical des sources électriques...? Si le pétrole, le gaz, le charbon, le vent, les marées, l'eau des barrages, le soleil constituent les éléments d'une belle variété d'énergies récoltables et utilisables, leur conversion en électricité est un choix qui, certes, a ses justifications. La principale étant que ce courant d'électrons, qui fait que l'électricité n'est nullement, en elle-même, une énergie (mais seulement ce qui permet de la transporter), permet de rendre transportable ce qui est nécessaire au fonctionnement de certains équipements. Comme les lampes qui éclairent le salon ou les avenues, ou la locomotive sous son câble ou "caténaire". En revanche, ce mode d'organisation ne convient pas à tous les usages. L'automobile, dont le passage au mode électrique pose de très lourdes difficultés (et est aujourd'hui encore plus qualifiable d'échec que de succès), en est une démonstration éloquente. D'autres exemples pourraient être mentionnés, mais derrière cette tendance, largement encouragée par les innombrables allusions à un hypothétique "sauvetage de la planète", il est impossible de ne pas s'interroger sur une autre facette de ce délicat sujet. "Certains" caressent peut-être le rêve -accessible- de l'élaboration de dépendances capables de s'avérer hautement lucratives, et de surcroît, fondamentales dans d'éventuelles ambitions de dominations. Les watts "administrés", voire "totalitaires", peuvent s'avérer bien plus efficaces que les tailles et les gabelles d'un passé révolu.? Ne penser qu'à cela serait certainement une obsession. En écarter toute éventualité, illustration d'une très pauvre culture historique, serait une lourde faute...

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