OBJETS CONNECTES: VERS DE NOUVELLES FRONTIERES?

On va plus loin au royaume des concepteurs…

Soyons lucides : les professionnels du segment des objets connectés ne vont pas se contenter des recettes moyennes sur les montres ou bracelets et anémiques du côté de la domotique. A l'évidence, une sorte de corps à corps semble avoir pris racine entre ceux qui conçoivent et un certain public.

Qui veut Mapo ?

Cibles féminines, maquillage et synergies porteuses avec les grands fabricants de produits cosmétiques se sont rencontrés au royaume des opportunités. Ce qui donne, après un long travail de R&D, un masque, d'ores et déjà disponible dans les rayons de quelques enseignes multispécialisées. Ce masque baptisé Mapo (jeu de mots?) se charge d'analyser l'épiderme de l'utilisatrice (ou utilisateur, ne gaspillons pas les possibilités de favoriser la parité), de la conseiller et même de l'aider aux applications.

Jusqu'où la technologie va-t-elle se nicher ?

Bien inspirés du bonnet, les scientifiques de OMsignal n'ont pas hésité à se plonger au sein du numérique pour créer ce qui est une forme de traqueur d'activité, qualifié de "brassière", que les sportives (ici, pour la parité, c'est plus compliqué) bien en forme peuvent porter lors de leurs exercices. Ne tombez dons pas dans le trop facile résumé en évoquant un soutien-gorge connecté, cet objet de l'ère digitale combinant toutes les fonctions d'un traqueur classique et celle que permettent son positionnement spécifique. Notez quand même que pour une clientèle masculine, la même firme a réalisé des effets aussi performants, mais attirant moins l'attention.