AUTO ELECTRIQUE : sans Tesla, y aurait-il tout cela...? L'étincelle était-elle réellement écolo...?

12 Juin 2025

Quand les faits et évolutions sont constatés, la nécessité de les expliquer, au moins pour l'histoire, s'impose naturellement. L'onde écologiste ayant "pris en marche" le virage vers ce mode énergétique supposé meilleur pour l'atmosphère, celui-ci aurait-il pu ne même pas voir le jour...?

---DVSM---

- DVSM, 12 juin 2025. Les particules fines seraient-elles l'équivalent de ces colibacilles nourrissant toute pathologie, selon des médecins d'hier, soignants et un peu charlatans.? Les pneumologues, et le corps médical, soulignent à très juste titre que de fines particules ingérées dans les poumons sont à l'origine d'affections particulièrement graves. De nombreux fumeurs, des marcheurs dans les couloirs du métro (parisien, mais pas seulement), des professionnels ayant eu à manipuler de l'amiante, et d'autres, l'ont payé de leur vie. Les gaz dits "à effet de serre" sont coupables de tout autres dommages. L'énumération des blessures infligées à notre planète et sa nature est sans fin. L'art de s'accrocher à toute notion réelle ou un peu moins pour en faire une cause combattante, et parfois commerçante -sens large- n'est pour sa part limité par aucune barrière. À l'heure présente, des structures industrielles et des sources d'emploi pour des millions d'individus sont entrées dans une transition qui s'avère délicate. Et même destructive. Dans cette métamorphose, quel qu'en soit le bien plus ou moins fondé, le rôle de Tesla risque de rester difficile à déterminer. Dans une récente approche (lire ou relire ICI), étaient évoqués les débuts très marginaux de cette marque, il y a une quinzaine d'années. Et son auréole semble bien avoir été façonnée essentiellement sur des idées de performances, de silence, d'originalité. Un "pas comme les autres" capable dans un souffle à peine audible de ranger dans le banal les chronos d'onéreuses allemandes ou italiennes. Le tout ne pouvant que se gorger des innombrables succès d'Elon Musk, celui qui lance (Space-X) des satellites mieux et plus vite que quiconque, Nasa incluse, et ne désespère pas de relier le cerveau (Neuralink) au smartphone de chacun, par cordon USB peut-être. Une sorte d'amalgame très techno et science-fiction. À cette question, "sans Tesla, donc sans Musk", l'industrie automobile aurait-elle engagé cette même variante profonde de trajectoire...? Nombreux seront ceux qui répondront par l'affirmative, un peu comme face à ce qui, le temps passant, semble être devenu une évidence. Mais en réalité, réponse impossible, puisqu'il faudrait, pour une certitude, revivre ces mêmes années une seconde fois. Osons cette suggestion interrogative.: sans l'évolution constatée, et avec un parc auto uniquement conventionnel -essence + gazole-, l'état de la planète serait-il différent...? Franchement...?