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L'exemple devient ici le contre exemple de ces opportunités probablement gaspillées dans des stratégies d'enseignes, d'où pourraient pourtant surgir des éléments de consommation dont, n'ayons pas peur des grandiloquences, la nation a tant besoin.
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- DVSM, 18 juin 2025. Oserait-on ne montrer les délices pâtissiers qu'en de rares occasions, seulement quand des ondes festives traversent les humeurs populaires.? Revoici -tant pis si pour certains fidèles, ce rabâchage vire à l'idée fixe- la petite rengaine "DVSMienne" sur la culture vendeuse des envies. En un week-end et durant quelques jours ou semaines, en amont, arrivait un moment fort, celui de la Fête des Papas... Et en même temps, celui d'une course mondialement reconnue et suivie, qui se dispute sur le circuit du Mans. Probablement soutenue par cette vague porteuse, dans un belle moyenne surface généraliste, l'idée a visiblement (c'est le mot juste) généré une initiative plutôt sympa. L'homme et l'auto, ça va ensemble, c'est bien connu.! Les dames qui conduisent, sans doute aussi nombreuses que les messieurs, sont maladroitement un peu moins associées à ce penchant, dans le tourbillon des idées acquises. Oublions cet oubli. Surgit donc au bon moment une belle présentation, en pleine entrée de magasin, ce bel assortiment de miniatures (photo). Bonne pioche.! Pensez-donc.! En diffusant intégralement et en direct les 24 Heures du Mans 2025, la chaîne L'Equipe (canal 21) est devenue pour cette occasion la seconde audience nationale, toutes chaînes confondues, crevant le cap du million de spectateurs. L'automobile reste, notamment quand on ne la voit pas uniquement sous sa facette ayant mangé du Li-Ion, un objet d'admiration, de passion. Mais hélas, quand, au pays des rillettes, le drapeau à damier en a terminé de ses pirouettes, et quand les papas comblés de cadeaux retournent à leurs quotidiens, la belle apparition soudain disparaît. Tant pis pour ceux qui avaient déjà commencé à cristalliser du fond de leurs plus intimes synapses quelques projets d'acquisition... Il y a du cruel dans ce court épisode. Ne pas nourrir les envies est une pratique contestable de l'activité commerciale. La mettre en lumière avant d'en priver les regards confine à une sorte de torture. Ces modèles réduits auraient pu contribuer à ce que le CA le soit moins (réduit). Merguez en promo et pâte à tartiner moins chère ayant été largement diffusées, ce "se faire plaisir" aurait pu alimenter un souhait qui remonte jusque dans les fantasmes des plus hauts responsables du pays, faire sortir des bas de laine, des refuges des écureuils et des assurances sur la vie un peu de cette masse d'épargne ne contribuant plus à la vie de la conjoncture. Dans cette courte vue de ce qui pourrait tenter le chaland, la distribution pourrait jouer un rôle moteur. S'en dispenser en fait une citoyenne qui pourrait mieux faire...
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