IMMOBILIER d'ENTREPRISES : y aurait-il des étonnements capables de provoquer l'étonnement...?

7 Juillet 2023

Les observateurs les plus éminents ont-ils, outre leurs tableurs et l'IA, un tantinet d'instinct capable de leur faire pressentir quelques évolutions par ailleurs incontournables et identifiées par tous...?

---DVSM---

- DVSM, 7 juillet 2023. Forts de leurs investigations, des analystes et enquêteurs auraient compris que le télétravail ne serait pas l'ami intime de l'immobilier d'entreprises. C'est un vrai scoop, une découverte qui impose un respect à la hauteur de cette analyse. Des médias bien connus s'en trouvent investis d'une mission d'information, comme le démontre quelques alertes accrocheuses tombées en cette fin de journée de fin de semaine de fin de période "pré-vacances". Chapeau bas, mais lorsque le Covid a commencé à se propager, des incitations très fortes à se mettre à l'ouvrage à la maison ont surgi, quasiment comme des ordres. Cela se passait il y a plus de trois ans déjà. A ce moment, et dans une ambiance de quasi panique, les signes d'un attrait du télétravail se sont vite manifestés. Pour les rayons de l'IT et de la connexion, ce fut d'ailleurs un épisode de grande activité. Chacun cherchant à mettre à niveau sa panoplie, alors que les applications dans l'esprit de Skype ou Face Time ont fusé. Humblement, et alors qu'il était facile de comprendre qu'un penchant soudain révélé pour le travail sans bouger de chez soi venait de s'enraciner, votre blog préféré, "dvsm.eu" bien sûr, a très vite souligné que les dizaines de milliers de mètres carrés dans les immeubles de Paris la Défense et des autres zones laborieuses du pays (au moins) allaient traverser un grand trou d'air, sans doute pour longtemps. Et d'ajouter que l'avenir de ce qui allait se construire ou était en projet méritait une prudente remise sur le tapis. Outre les collaborateurs entrevoyant la possibilité d'échapper à la fatigue et aux coûts des transports, le monde de l'entreprise percevait la probable économie sur les investissements fonciers, les charges d'entretien, de chauffage, d'éclairage sensiblement réduits. Ce blog avait même été jusqu'à poser des questions sans réponses pour l'heure, mais qu'il sera impossible d'éviter. Comme la possibilité de compenser les charges fiscales fiscales perdues dans ce retour au domicile d'une fraction des effectifs, avec le corollaire qui fera tôt ou tard bouillir les imaginations fertiles de Bercy, à propos d'une contribution pour la part des résidences de collaborateurs consacrée à ce travail à distance. Alors que, au moment, dans la file d'attente du péage de Fleury-en-Bière, surveillant l'arrimage de la planche à voile sur la galerie, certains font déjà des projets de plage et de barbecue, s'apercevoir qu'une fraction de ces surfaces pour le labeur seraient victimes du télétravail, voilà un motif d'étonnement quelque peu inattendu...