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Avant l’heure, ce n’est pas l’heure. Mais après, ça ne l’est pas davantage. Quelle est la bonne durée de vie pour une « G », dans les télécommunications…?

- DVSM, 24 janvier 2020. Trop tôt… ? Alors que la 5G n’est même pas encore réellement lancée, l’opérateur japonais a d’ores et déjà mis un pied dans un inéluctable futur. Certes, Docomo n’annonce pas une commercialisation pour demain matin. Mais il situe sans détour celle-ci pour 2030. Un délai d’une décennie qu’il justifie en remarquant que les technologies précédentes se sont succédées à environ cette cadence. Et en rappelant qu’une telle période de gestation est nécessaire pour que soient déterminés les objectifs opérationnels et d’usages d’une génération nouvelle, et que soient développés, testés et produits tous les éléments techniques qui la composeront. C’est l’objet du livre blanc qu’il vient d’élaborer. Une initiative à l’occasion de laquelle il rappelle que son travail d’approche et de développement a débuté dès 2018, et dont la vision qu’il en retire a pris une forme concrètement démontrée lors d’une présentation tenue hier et aujourd’hui dans un grand centre d’expositions de la capitale nippone. Outre les rapidités et débits extrêmes que l’on imagine, cette 6G s’oriente vers l’utilisation de fréquences ultra-élevées, du domaine du terahertz, des couvertures incluant les surfaces maritimes, océaniques et même spatiales, des consommations d’énergies particulièrement réduites, et qui plus est au moyen de très faibles coûts d’utilisation… Le futur redevient une promesse…!  

 

 

Tag(s) : #- A la Une, #- Télécoms
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