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Non seulement la France souffre d'une lourde addiction aux prélèvements, mais alors que de nombreuses voix s'élèvent de plus en plus contre ce mal, des têtus peut-être un peu imbéciles cherchent sans relâche à l'amplifier. Et si, un jour, -beau jour...?-, cela craquait autrement...!

 

---DVSM---

 

- DVSM, 29 janvier 2025. L'aveuglement sur les méfaits issus de la pathologie ponctionnelle à la française est-elle le fruit d'une ignorance crasse ou d'une manie qui, dans sa persévérance, devient honteuse...? Coup sur coup, et dans la turbulence de sillage de l'arrivée au pourvoir de Donald Trump, les réactions et les prises de position se multiplient. Coût sur coût... En les résumant, se distinguent deux grandes orientations. L'une se borne à déplorer une fois encore les désastres coûteux que cette folle habitude. L'autre, venant de certains acteurs, même en charge de responsabilités à de très hauts niveaux étatiques, au mépris de multiples constats, sortent les banderilles de nouvelles volontés de faire ce qui reste dans les poches des entreprises et des particuliers. Décidemment, la pondération ne fait pas partie de leur vocabulaire. Si bien que de l'impuissance des arguments, le risque grandit de voir certains opter pour la puissance d'initiatives plus percutantes. Qu'on ne se le cache pas, le risque grandit d'une colère "multi-ponctions", voire d'une claire et vigoureuse révolte du même adjectif. Les colères sont comme les autocuiseurs. Quand leur couvercle cède sous la pression excessive, les dégâts sont toujours considérables, et bien regrettables. "Mine de rien", c'est une expression, de presque discrètes manoeuvres qui ne trompent personnes sourdent de-ci de-là. Comme ces cartes grises qui prennent un coup de pression. "Ce n'est pas l'Etat, ces prélèvements restent dans le champ des collectivités locales" entendra-t-on inévitablement. Pour l'individu ou l'entreprise (l'auto est aussi un instrument destiné au travail) c'est finalement exactement la même chose. Stop aux hypocrisies dont l'excès ne peut qu'amplifier les envies d'en finir autrement que par de la gentille discussion. Aucun mouvement de force, voire violent, n'est pourtant souhaitable. Il faut se rappeler de cette phase des gilets jaunes, par une taxe déclenchée, a conduit le territoire dans une atmosphère aux excès intolérables. Il appartient donc à chaque responsable de mesurer ce en quoi il peut, d'urgence, dans ses décisions, limiter l'éventualité de réveils de cette nature. Ou non... À toutes fins utiles, quand un nez saigne, exercer une forte pression...!

- DVSM, en savoir plus...

 

 

Tag(s) : #- CARTON ROUGE, #- C'est un avis, #- A LA UNE
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