CLIMAT, le monde "scientifric" en plein émoi...! Pourquoi...? Quelques intérêts peut-être...?

La "climatastrophe" n'est pas qu'une prophétie à vérifier. C'est aussi un solide fond de commerce, martingale rentable qui nourrit les sondages et fait exploser les peurs, en s'appuyant sur des certitudes nettement moins bien affirmées que celles émises à propos de la prochaine averse.

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- DVSM, 21 janvier 2025. "Alors, c'est chaud ou c'est froid...? Ah...! Vous brûlez...!" Un président, qui vient d'arriver à la Maison Blanche, va faire sortir sa nation des "accords de Paris sur le climat". Vous diriez "bizarre"...? En cherchant, sans relâche, l'anomalie finit toujours par se révéler. Ajoutez-lui l'adjectif "climatique", et la voici devenue le symbole de toute une époque. Pas que symbole, élément influenceur de tout, jusqu'au panier moyen relevé en sorties de caisses. D'emblée, il convient de couper court à la remarque que quiconque serait tenté d'attribuer à ces propos. Il n'en révèle pas ici la moindre contestation concernant une évolution du climat, incontestablement bien réelle. Ni même de l'incidence d'une part liée aux activités des résidents de la planète, hautement probable. La seule véritable fausse affirmation serait celle qui chercherait à démontrer que ce qui concerne le globe et abrite l'humanité ne se serait jamais transformé, et ne transformerait plus. Figée, vitrifiée. "La normale" ou la norme... Sauf quand la 403 diesel du voisin, immatriculée en collection, démarre. Geste criminel qui met à coup sûr en péril la vie du système solaire et peut-être de l'ensemble de la galaxie. Oui, le climat change, jour après jour, et ce depuis 4,5 milliards d'années, et cela dans une interaction permanente et parfois violente envers la configuration géologique et géographique du globe (lequel n'est en outre même pas totalement fixe sur son axe...!), sans écarter ce qui vient d'ailleurs, taches et tempêtes solaires, par exemple. S'il est démontré sans ambiguïté que l'activité humaine à bien sa part dans cette mouvance ininterrompue, la valeur de cette part est plus floue. La divergence des avis commence en effet lorsque cette influence de l'homme est à évaluer. Un sujet sur lequel il est beaucoup plus difficile de trouver des proportions résultant de travaux de scientifiques et de vrais spécialistes, que d'élus écologiques qui signent les rapports alarmistes de certains organismes supposés non contestables.

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Aborder ce thème là où tout tourne autour du quotidien de points de ventes et de rayons spécialisés en biens techniques, de loisirs et de mobilité peut sembler presque hors sujet. Et pourtant, depuis quelques décennies, rares sont les marchés et activités qui ne sont pas impactés par ce marronnier et ce qui en est feuilletonné. Les ingrédients les plus divers, parfois antagonistes, y sont mélangés, pour ne plus constituer qu'une bouillie médiatique et anarchiquement influenceuse.

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Les modes de déplacement, la ration quotidienne de viande, l'énergie absorbée du cloud, le passage au statut de passoire thermique de logements (qui étaient dans l'ensemble bien peu chauffés il n'y a que 70 ans), la détestable pollution des enseignes lumineuses, la suppression des catalogues "boîtes aux lettres", la consommation des équipements en veille, la voracité énergétique des centres conservant des données (dits "data-centers"), les thèmes sur lesquels sont et ont été posées des questions, élaborées des règles, et parfois des lois, (sans oublier quelques taxes) sont légion. Alors que les ZFE conduisent de nombreux ménages "motorisés" à mieux regarder sur quels critères leurs pastilles Crit'Air sont établies, que l'on songe "pour sauver la planète" à ne pas laisser des appareils numériques en veille, et que les tarifs à la pompe reprennent étrangement de l'altitude, songez à tous ceux qui, si cette pression climatique baissait simplement d'un ton, verraient leur petite cuisine juteuse s'émousser. Finalement, Claude Allègre, ex-ministre sans doute trop lucide,  qui vient de nous quitter, avait à coup sûr trouvé le mot juste, imposture...!

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