Bonne ou mauvaise pioche...? En moins de deux semaines, plusieurs salons vont se tenir dans la capitale, avec des possibilités de chevauchements des envies de visiter. Car les aficionados d'un sujet le sont souvent d'un autre, voire de plusieurs.
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- DVSM, 6 octobre 2024. Grands moments pour les organisateurs, les inaugurations...! Sur le moment, elles constituent une sorte de confirmation de leur importance, dans l'actualité, les tendances, les évolutions et... de leur aptitude à faire parler à la ronde. Si bien que des moments devenant presque historiques peuvent y laisser des traces véhiculées bien au-delà des thèmes exposés. Tout en laissant filtrer des souvenirs ou des repères avec l'actualité et même l'Histoire. Comme ce cliché, ci-dessus, où le Chancelier allemand Ludwig Herard qui inaugure un événement d'outre-Rhin consacré au jouet. En France, c'est le Salon de la Photo qui ouvre le bal, se tenant du 10 au 13 octobre 2024, à la Grande Halle de la Villette.
Ce moment fort pour l'image aura peut-être quelques défis à relever pour stimuler le "buzz", alors que le Mondial de l'Automobile, du 14 au 20 octobre prend place au parc d'expositions de la Porte de Versailles. On se frôle...! Les préoccupations sont très intenses et actuelles pour ce domaine, avec des inquiétudes non dissimulées notamment pour les industriels européens et pour l'avenir se partageant entre thermique et électrique. Aux prises avec des conditions peu favorables aux grands shows dans tous les domaines au cours des années récentes, celui qui s'appelait jadis "Salon de l'Automobile" cherche à renouer avec un succès qui a sérieusement pâli, et pour ce faire, l'organisateur à multiplié dans des proportions inédites les thèmes mobilisateurs, faisant feu de tout bois. Et le jeux dans tout ça...? Du 23 au 27 octobre, Paris Games Week revient à la Porte de Versailles. On se frôle, on se chevauche presque...
Moins exposé aux questions existentielles, Le Paris Audio Vidéo Show est en revanche dans une tendance positive, ce qui n'était pas forcément au centre des pronostics il n'y a que quelques années. Oui mais au-delà des métamorphoses techniques, la musique reste la musique, et seuls ceux qui en avaient perdu leur solfège dans la partition de ce qui attire les amateurs n'osaient plus parier sur un truc d'hier, la haute fidélité et ses déclinaisons de l'heure analogique et numérique. Les 26 et 27 octobre, au Palais des Congrès, ce PAVS attend un public qui ne devrait pas bouder son plaisir.
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