TENTATIONS à hauts risques, les inévitables évocations à portée des inconsciences osées...

16 Avril 2024

Prenez une civilisation, confiez lui un climat et une intelligence artificielle arrivée avant que ne lui soient imposées des limites. Et les imaginations se mettent à bouillir... Glaçant...!

---DVSM---

- DVSM, 16 avril 2024. Vu...! Sur les écrans, et dans une terminologie qui se limite à la météo. Et surtout, dans un cadre éditorial (Ça m'intéresse "le magazine des curieux") qui n'a évidemment en rien la réputation d'un provocateur. À la question posée, il existe d'ailleurs déjà des réponses positives. Il est possible avec certaines interventions ponctuelles de limiter les effets de violents oranges en formation, par exemple. Ou d'épargner des plantations, comme certains vignobles, de conséquences de gelées tardives et soudaines. Toutefois, ce genre de question, qui s'inscrit dans une atmosphère où la fausse information (dite "fake niouze"...) pullule plus que de raison, qui plus est dans un bouillon de culture fantasmagorique à la sauce IA, cesse d'être seulement anodine. Il n'y a pas mieux pour faire germer des idées que les apprentis sorciers ne repousseraient nullement. D'autant plus que ces perspectives de maîtrise des éléments peuvent aussi faire dériver une expression bien connue : "le temps, c'est de l'argent". Passant du "temps qui passe" au "temps qu'il fait", des acteurs d'une hypothétique force interventionnelle marchande pourraient y voir des marchés. Ah...! Qu'il serait intéressant de détourner des vents, pour décarboner les atmosphères de zones urbaines, ou d'étouffer des courants comme le Gulf Stream, avec à la clé une sensible économie de carburants pour les compagnies aériennes, sens Est-Ouest de l'Atlantique Nord...! Et que penser d'une dérive militaire à connotation belliqueuse, qui inciterait un pouvoir totalitaire agité, (ce qui existe) à plonger dans une "sur-hivernalité" un territoire ennemi. Cette utilisation de l'intelligence artificielle, qui mériterait d'être qualifiée de "sacrée belle con....ie", n'est plus, depuis peu, le seul élément utilisable par les auteurs de science-fiction. Les débuts de la prolifération de cette IA (car nous n'en sommes qu'à des débuts, même si cette technique était déjà en gestation avancée depuis des années) fait naître des interrogations à vous donner le frisson. Allusions, directes ou indirectes, désormais à utiliser avec modération...