Voir venir le futur devrait impliquer au moins quelques idées. Le mois de juillet confirmant les chiffres inquiétants du premier semestre 2023, un responsable a-t-il au moins une stratégie possible face à notre dénatalité grandissante...?
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- DVSM, 18 septembre 2023. A peine médiatisés, des chiffres catastrophiques sont déjà submergés par de nouvelles déconvenues. Petit rappel. Sitôt assimilée la chute du nombre de naissances du premier semestre que le début de l'été en remet une couche (mot mal choisi, certes, à propos des bébés non nés). Petit rappel. Il y a quelques semaines, l'INSEE ne dissimulait pas une certaine inquiétude à propos d'un niveau de natalité tombé plus bas que celui de... 1946.! Une évocation qui n'était pas forcément évocatrice de repères tangibles pour de nombreux citoyens. Pourtant, ce niveau ayant concrétisé l'avènement du baby-boom était en cette lointaine année de 840.000 naissances, à ne pas considérer d'une manière brute, mais au regard d'une France qui comptait alors 40,2 millions d'âmes. En pourcentage, et donc en aptitude au renouvellement, c'est par rapport aux 67 millions d'individus de 2023 que la situation se doit d'être observée. Bien sûr, rectifier la tendance est difficile, et même en en imaginant la concrétisation, les effets éco-conjoncturels ne pourraient en être attendus avant au moins deux petites décennies, temps pour que des bébés conçus dès ce soir (hypothèse optimiste indispensable) et nés dans les délais impartis en arrivent enfin à leur vie active. Parallèlement, des populations nombreuses vont d'ici ce lointain horizon passer de l'état actif à celui de retraité. De quoi prévoir une consommation bien peu dynamique pour un moyen à long terme. Les pénuries d'actifs ne font donc probablement que commencer. La forte participation de spécialistes et experts (et ce qu'ils coûtent à la collectivité) serait de nature à générer mille et une parades pour affronter une période dont pas un élu ne pourra un jour prétendre qu'on ne l'attendait pas.
-- DVSM, partenaire professionnel du PARIS-AUDIO-VIDEO-SHOW 2023 --
Côté commerce, si l'inflation et ses effets réducteurs sur la capacité à consommer du plus grand nombre sont désormais terribles et inévitables, il est sans doute primordial de forcer le trait sur des produits plus valorisants, qu'une fraction de la population consommante peut encore s'offrir. L'automne et quelques événements peuvent contribuer à stimuler ces lignes de produits, dans le son, la vidéo, la photo... Pas imaginable de voir dans ces univers le seul moyen efficace d'une meilleure orientation. Il y a bien sûr des équivalences dans le vêtement, le chaussant, le bricolage, le jardinage, le sport, l'automobile, et même l'alimentaire, bref, partout. Simplement une très petite pierre à un édifice, qui se doit d'être adossée à mille et une autres initiatives. En revanche, le "moins cher" dominant cultive une orientation qui amplifie la marche vers le bas...!
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