CLIMAT, l'entrée dans une spirale sans échappatoire est d'ores et déjà acquise. Tous dans la nasse...!

21 Septembre 2023

Le ciel s'est assombri sur les économies. Le thème climatique s'est invité dans tous leurs rouages. Sortir du piège de cette évolution infernale ne sera pas sans douleur.

---DVSM---

- DVSM, 21 septembre 2023. Et voilà, comme prévu, l'automne est revenue. "Revenue" au féminin. Car cette saison, comme certaines compagnes, est à la fois séductrice et annonciatrice de probables lourdes ponctions dans les tirelires. Quel rapport avec d'une part le climat et les turbulences qu'il suscite, et la distribution, le commerce, le numérique, l'audio, la vidéo, la photo...? On y vient. D'entrée de jeu, l'automne chasse les rayons de l'astre suprême, qui réchauffaient l'atmosphère -parfois un peu trop- pour laisser soudain le tout consommateur face à des réalités, fioul, gaz, stères de bois, pellets... Oui, se peler, le risque est là, dans un contexte où tout est devenu hors de prix. Mais avec un handicap, qu'on le veuille ou non, 100% inventé, dans la préoccupation pour un possible réchauffement climatique. Ah...! Si celui-ci pouvait seulement s'appliquer à ce bonhomme hiver qui arrive, mal caché derrière les ocres enchanteurs de cette automne dissimulatrice. Force est de constater à quel point tout se reconsidère désormais en fonction de ce supposé dérèglement. Supposé...? Serions-nous de ces vilains sceptiques montrés du doigt...? Ce n'est pas le bon moment pour oser répondre. Admettons plutôt que les convaincus de cette montée en température aient raison, preuves enfin à l'appui... Les sceptiques seront alors côté réputation dans de beaux draps. Mais imaginons que, finalement, ce réchauffement ne soit qu'une confusion définitivement reconnue entre une perpétuelle métamorphose de la planète et des cataclysmes dont le règne est éternel, arrivés bien avant l'ère industrielle et même la naissance de Gretta Thunberg...? Ce sont les convertis aux affirmations du GIEC qui seraient alors ridiculisés. Personne n'est sûr de sortir de ce piège qui échauffe les humeurs. En attendant, tout le contexte économique et conjoncturel est entré sous son influence. L'industrie automobile se dénature, les coûts de pompes (à chaleur) accrochent irréversiblement les ménages au dictat de Linky, les habitations qui finalement ne protégeaient pas si mal des petits matins frais devenues supposées passoires sont à détruire, etc. Et dans ce tohu-bohu, certains souhaiteraient voir des chalands prêts à dépenser pour des téléviseurs, des smartphones, des installations de son hi-res, des APN à très gros capteurs, des notebooks, voire à prendre l'avion pour 5 fois et plus, ou encore s'acheter de la viande et aller dîner ailleurs que dans un "faste foude". Quand le rêve devient absurdité...! Y.D.