Les immenses modifications à implications économiques qui se voient imposées (à un tel niveau, ne faudrait-il pas faire voter les citoyens...?) en raison d'un climat qui change vont entraîner des conséquences d'une ampleur inédite pour tous. Sûr que c'est bien sûr...?
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- DVSM, 12 septembre 2023. Les industries, les transports, les usages, les modes de vie, rien ne semble désormais pouvoir échapper à une spectaculaire frénésie climatique. Et pour le commerce, c'est peu dire. Avec en guise de préambule inquiétant à toute observation, rappelons qu'il est interdit, même très intimement, de douter.! Concernant l'existence d'un être suprême, toutes les questions sont permises. A propos de celle d'une évolution de nos frimas et de nos coups de chaud, absolument pas. Pas davantage à propos de la pertinence des solutions mises en oeuvre. Pourtant, il n'est pas question ici de contester les observations de techniciens à la fois compétents et dotés d'équipements fort perfectionnés. S'ils détectent une phase de réchauffement, il est stupide de les contredire ou de ne pas les croire, au moins partiellement. Parallèlement, ce qui devient plus délicat à évoquer, tient dans ce vrai défi qui consiste à conserver une liberté d'interrogation à propos des causes possibles, de l'influence de l'humain, et des remèdes suggérés. Des incohérences maillent en effet le sujet. À commencer par une affirmation "qui pose problème", selon l'expression de notre époque. Et même "problèmes"...
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Si ce climat est qualifié de déréglé, cela laisse entendre qu'il fonctionnerait depuis la nuit des temps selon des règles. Immuables...? Lesquelles...? Quels textes, ou quelles lois physiques codifieraient cet environnement dans lequel vivent les habitants de la planète.? N'y aurait-il pas plutôt, des entrailles de notre monde jusqu'à ses extrémités stratosphériques, en passant par le plancher des vaches, une évolution permanente, amorcée il y a 4,5 milliards d'années, quand notre satellite du soleil est né...? Cette hypothèse est largement corroborée par des acquis scientifiques qui ont mis en lumière des modifications successives et répétées des reliefs, des mers et océans, des glaciers, des espèces vivantes... En remontant bien moins loin dans le passé, et en compulsant les observations faites par les humains au fil des siècles (les gazettes sont nées bien avant l'ère dite "industrielle"), il est vite établi que si l'homo sapiens avait une durée de vie de 300 ou 400 ans, et non de seulement 80 à 99 ans pour la grande majorité, la notion même de l'exceptionnel ou du "jamais vu" serait très différente. Cette "mémoire d'homme" si souvent évoquée, serait largement redimensionnée, les ressentis avec elle. Une chaleur suffocante courant septembre, des pluies massives, des tempêtes, des éboulements, tout individu ayant soufflé ses 250 premières bougies aurait effectivement déjà vu ça plusieurs fois dans sa "courte" vie...!
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Dans la forme, les convaincus qui cherchent à tout prix à convaincre les autres de la réalité réchauffante se mélangent en outre un peu le vocabulaire. Ainsi, nous sommes heureux de ne pas avoir eu trop froid l'hiver dernier (Mais déjà, quelques inquiétudes électriques on été discrètement émises pour le "2023-2024"). Non pour une raison purement climatique, mais à cause d'une gestion des ressources énergétiques qui frise la honte et l'incompétence. "Oui, mais il ne faut pas confondre météo et climat" s'entend-on vertement sermonner dès qu'il ne fait pas très chaud en juillet ou pas très froid en janvier. "Ça, c'est de la météo...!" Pourtant, les mêmes sermonneurs ne se privent pas, aux moindres nervosités davantage prononcées du thermomètre, comme en ce mois de septembre, ou lors de trop généreuses ondées ou d'un souffle renforcé d'Eole, de mentionner que ces poussées "sont bien les preuves intangibles d'un dérèglement". Et déjà, de plus banales responsabilités s'estompent. Des maisons sont envahies par des marées extrêmes. La faute au dérèglement, ou à des administration ayant délivré des permis de construire pour des lotissement dans des zones inondables...? Des éboulements rocheux sont déplorés dans des vallées alpines. La faute au dérèglement ou à la lente érosion qui fait de nos montagnes jeunes des reliefs vieillissants.?
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Tétanisés par cette tendance coincée entre un dada végan et des fantasmes façon wok, les responsables de toutes confessions s'alignent sur un séisme économique qui a commencé. Supposée indissociable des degrés excessifs, l'automobile thermique et son industrie sont à un carrefour dangereux. Pour le plus grand bonheur de concurrents nouveaux, souvent chinois, qui rêvaient de "se faire" les bastions occidentaux de cette immense activité. Le coin du feu va passer à la pompe à chaleur. Les fournisseurs d'électricité se frottent les génératrices à l'idée d'une population entière, enfin en passe de devenir clientèle totalement captive, pour le plus grand bonheur -encore- des fournisseurs de pompes, qui vendent, aides déduites, mais installations non comprises, ces "gros" frigos à l'envers pour le prix de petites voitures. Avec cette interdiction de questionner, de douter, c'est un autre mais curieux climat qui s'est hélas installé.
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