FOOTBALL et distribution : un Mondial 2022 qui ne ressemble véritablement à aucun autre.

Des rayons d'EGP-numérique aux publicités BAL, trouver une référence à la compétition en cours est cette année devenu mission quasi impossible. 

- DVSM, 30 novembre 2022. Pour l'heure, tout est bien parti. S'ils continuent sur ce rythme, les Bleus n'iront-ils pas jusqu'à faire naître quelques regrets.? En particulier pour n'avoir pas osé investir davantage en opérations afin de doper des lignes de produits qui ne demanderaient, avec insistance, qu'à profiter d'un sérieux coup de pouce, appuyé sur un parcours victorieux (ou presque). Car, finalement, le public est... bon public. Faute d'une victoire absolue, il sait souvent se contenter d'une équipe ayant l'élégance de ne pas démériter. Une compétition qui démarre bien peut faire surgir des motivations d'achats. Peu, ce serait mieux que pas du tout. Mais il est trop tard. Quand c'est l'heure, ce n'est déjà plus l'heure. Le Bleu du ballon pourrait faire mieux que le noir d'un banal vendredi. Revivent alors des souvenirs de PLV, de banderoles, de stops-rayons, de moquettes vertes, de ballons dans les linéaires... Contrastes...? Les événements accumulent en effet avec outrance les paradoxes. A l'heure où des stades sont vigoureusement climatisés, afin d'atténuer les ressentis d'une chaleur insupportable, les chalands de chez nous vont remplacer le frisson d'un score par celui des frimas cultivés aux instructions pour la modération. Et dans les rayons, obéissance contre-productive à des consignes aidant, "on se pèle un peu" aussi, selon les mots de quelques intervenants dans les rayons. 

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