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Alors que l'on espère la pandémie derrière nous, celle-ci serait-elle comme ces volcans que l'on croit éteints mais ne sont qu'en un sommeil sournois...?


- DVSM, 3 mai 2022. Aux alentours de Naples, on le sait désormais, le Vésuve n'a certainement pas dit son dernier mot. Depuis la terrible éruption qui a enseveli jadis Pompéi, ses spasmes ne sont pas rares (mais étroitement surveillés). Et nos beaux volcans d'Auvergne pourraient-ils rompre leur mutisme que des spécialistes estiment désormais hypothétiquement provisoire...? En Chine, comme le rapportent à bonnes doses de nombreux médias, le mal couve toujours. Il a déclenché des mesures spectaculaires et très contraignantes pour les populations de grande villes, comme Shangaï, entre autres. Les quarantaines de l'extrême qui concernent les personnes contaminées et désormais les non contaminées, soulignent deux options différentes, celle de la propagation voulue nulle opposée à celle de l'immunité collective. Faut-il, dès lors, encore parler de ce qui est en pointe des soucis sous certains cieux, et relève de la chronique maintes fois réchauffée ailleurs. Toutefois, au-delà de ce point asiatique du globe observé avec la plus grande attention, d'autres petites vibrations créent d'infimes mais très réelles préoccupations. Comme en Afrique du Sud où, selon les médias locaux, c'est d'une possible cinquième vague que surgissent les inquiétudes, alors que les cas relevés ont été triplés en quelques semaines. Des variants nouveaux semblent y jouer les perturbateurs inattendus. A New York, les contaminations quotidiennes, marginales, sont aussi en progression, multipliées par 4 en quelques jours. Si l'heure est à un optimisme prudent en Europe, aucune euphorie n'est cependant permise. Mieux vaut en avoir conscience. 

 

Tag(s) : #- A LA UNE, #- A cause du virus...
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