Paris et les salons, un thème dont l'importance a souvent échappé a nos dirigeants. Une simple lettre d'amateur nous permet de remettre en exergue la réalité de cet atout historiquement mal exploité.
- DVSM, 28 août 2020. Pas de soucis pour ce grand rendez-vous annuel dédié à l'automobile de collection, pas même, pour le moment, au sujet de sa prochaine édition. Le coronavirus attendra bien quelques semaines pour soulever ses éventuelles menaces. En revanche, comme le savent tous les professionnels, les conditions dans lesquelles sont vécus les salons parisiens, en particulier Porte de Versailles, n'ont d'équivalence que leurs coûts astronomiques "tout compris", bien sûr pour les coûts de surface, mais pour le stationnement des exposants (et des visiteurs), la restauration sur place, et bien d'autres facteurs. C'est un sujet sur lequel nous reviendrons. En attendant, KELEREPUS, blog "cousin" de DVSM, met en lumière une réalité affligeante, dont les organisateurs d'événements sont souvent jugés responsables, d'une manière assez injuste. C'est globalement davantage un état des lieux de la capitale qui déteint sur des outils qui auraient pu lui servir, entre autres, dans l'animation fructueuse de l'activité économique nationale. Sauf que tout le monde s'en fiche, en "hauts lieux". Et du reste, il commence à être bien tard pour une éventuelle réaction qui, de toute façon, ne se manifeste nullement. Qui n'a en mémoire les souhaits des responsables de la FICIME, (dont fait partie le SECIMAVI) traduits par son président, Alain Rosaz, qui affirmait il n'y a pas si longtemps que l'industrie avait absolument besoin de grands salons sur notre sol. A lire, ICI, sur KELEREPUS....